La courbe de tes yeux
L'avis du Salon :
« Maintenant, si tu veux, tu es des nôtres… »
Il a suffi d’une phrase pour que Benoît passe de victime à bourreau.
En rejoignant la bande d’Arnaud, il se réfugie dans la violence. Et il fait face à l’indifférence des adultes : les surveillants qui ne voient rien, sa mère qui se tait, son père qui est parti…
N’y a-t-il donc personne pour briser le silence ? Non, personne, à part cette nouvelle professeure de français, les vers de Paul Éluard et l’amour de la jeune Manon…
Peut-être.
L'avis des lecteurs :